Le serment des Hommes du Guet

« Moi, Numetor d'Artois, Lieutenant du Guet d'Azincourt, fait le serment sur l’honneur et sur ma vie, devant Dieu, Le Roy de France et le Comte d‘Artois, de suivre le charte des Hommes du Guet et servir la Prévôté d’Artois, jusqu’à la mort ou jusqu‘à ce que mon suzerain le Comte d’Artois me délie de ma parole .
Et, pour l'amour de Dieu et pour le salut du peuple artésien et notre salut à tous, à partir de ce jour dorénavant, autant que Dieu m'en donnera savoir et pouvoir, je secourrai cette mienne patrie d‘Artois, comme on doit selon l'équité secourir sa patrie.
Je prête serment sur ma vie de ne jamais manquer à ma parole donnée ce jour, de ne jamais utiliser frauduleusement, à des fins personnelles ou pour servir des intérêts autres que ceux de la justice et des lois artésiennes, mes attributions et de mes connaissance en tant que membre du Guet d’Artois
Je prête serment sur ma vie de défendre, en toute circonstance et au péril de ma vie, l’intégrité du Comté d’Artois, et de combattre, sans réserve et sous le commandement du Prévôt des Maréchaux, tout ennemi de l’Artois. Et, je n'entrerai avec nul en aucun arrangement et aucune divulgation qui, de ma volonté, puisse lui être dommageable.
Enfin, je prête serment d’obéir aux ordres de mes supérieurs hiérarchiques, pour la défense de la liberté et du respect des Lois de mon comté, de son égalité, de sa paix, fondement de sa devise et force de l'âme artésienne, mue par l'espoir d'ouvrir toujours plus grandes, aux hommes comme aux peuples, toutes les portes de la Justice. »

La classe ce serment !!!
Hein Van ??

Cloom, on ne pollue pas cet endroit, il est réservé aux serments d'allégeance !!! Mais c'est vrai que c'est trop la classe !!!

Posant un genou à terre
Moi, Pavlovius, nommé sergent de police de Cambrai, je jure solennellement de respecter ce serment.
Se relevant,
Longue vie au Comte et à son conseil !

Moi, Grandpaf, jure de respecter ce serment et de remplir mes fonctions de sergent de Cambrai, pour l'Artois, au nom de Dieu, du Roy et du Comte.

Le futur sergeant s'avança, fort intimidé.
Un genoux à terre, il répéta le serment des hommes du guêt.


Moi, Mosse, fait le serment sur l’honneur et sur ma vie, devant Dieu et les Hommes, de suivre le charte des hommes du guet et servir la Prévôté d’Artois, jusqu’à la mort ou jusqu‘à ce que mon suzerain le Comte d’Artois me délie de ma parole .
Et, pour l'amour de Dieu et pour le salut du peuple artésien et notre salut à tous, à partir de ce jour dorénavant, autant que Dieu m'en donnera savoir et pouvoir, je secourrai cette mienne patrie d‘Artois, comme on doit selon l'équité secourir sa patrie.
Je prête serment sur ma vie de ne jamais manquer à ma parole donnée ce jour, de ne jamais utiliser frauduleusement, à des fins personnelles ou pour servir des intérêts autres que ceux de la justice et des lois artésiennes, de mes attributions et de mes connaissance en tant que Lieutenants/Sergents du Guet de la ville de Peronne.
Je prête serment sur ma vie de défendre, en toute circonstance et au péril de ma vie, l’intégrité du Comté d’Artois, et de combattre, sans réserve et sous le commandement du Prévôt des Maréchaux, tout ennemi de l’Artois. Et, je n'entrerai avec nul en aucun arrangement et aucune divulgation qui, de ma volonté, puisse lui être dommageable.
Enfin, je prête serment d’obéir aux ordres de mes supérieurs hiérarchiques, pour la défense de la liberté et du respect des Lois de mon comté, de son égalité, de sa paix, fondement de sa devise et force de l'âme artésienne, mue par l'espoir d'ouvrir toujours plus grandes, aux hommes comme aux peuples, toutes les portes de la Justice.

Moi, Troisg, sergent de Police d'Azincourt,
Je jure solennellement de respecter le serment des Hommes du Guet d'Artois au nom de Dieu, du Roy et du Comte d'Artois.

Moi, Osorkon, Sergent de guet d'Azincourt, jure sur sollenement de respecter le serment des hommes de guet, au nom du Comte, du Roy et du Seigneur tout-puissant.

Moi, Songnis, Sergent de Police de Péronne,
Je jure solennellement de respecter le serment des Hommes du Guet d'Artois au nom de Dieu, du Roy et du Comte d'Artois.
Bien à vous

Moi, Fraga, Lieutenant de Police de Péronne,
Je jure solennellement de respecter le serment des Hommes du Guet d'Artois au nom de Dieu, du Roy et du Comte d'Artois.

Moi, Tristan17, Sergent de Police d'Arras, jure solennellement de respecterle serment des Hommes du Guet d'Artois au nom de Dieu, du Roy et du Comte d'Artois!

moi aussi

Moi, Troisg, lieutenant de Police d'Azincourt,
Je jure solennellement de respecter le serment des Hommes du Guet d'Artois au nom de Dieu, du Roy et du Comte d'Artois, comme j'ai pu le faire durant ma carrière de sergent de police

Moi, beauté sergent de Police d'Azincourt,
Je jure solennellement de respecter le serment des Hommes du Guet d'Artois au nom de Dieu, du Roy et du Comte d'Artois.
Je promets, en outre de rester une femme du guet et non une fille de joie ! Enfin, je promets de toujours veiller à l'intégrité du Comté.

« Moi,bilbokine nouveaux sergent d'Amiens fait le serment sur l’honneur et sur ma vie, devant Dieu, Le Roy de France et le Comte d‘Artois, de suivre le charte des Hommes du Guet et servir la Prévôté d’Artois, jusqu’à la mort ou jusqu‘à ce que mon suzerain le Comte d’Artois me délie de ma parole .
Et, pour l'amour de Dieu et pour le salut du peuple artésien et notre salut à tous, à partir de ce jour dorénavant, autant que Dieu m'en donnera savoir et pouvoir, je secourrai cette mienne patrie d‘Artois, comme on doit selon l'équité secourir sa patrie.
Je prête serment sur ma vie de ne jamais manquer à ma parole donnée ce jour, de ne jamais utiliser frauduleusement, à des fins personnelles ou pour servir des intérêts autres que ceux de la justice et des lois artésiennes, mes attributions et de mes connaissance en tant que membre du Guet d’Artois
Je prête serment sur ma vie de défendre, en toute circonstance et au péril de ma vie, l’intégrité du Comté d’Artois, et de combattre, sans réserve et sous le commandement du Prévôt des Maréchaux, tout ennemi de l’Artois. Et, je n'entrerai avec nul en aucun arrangement et aucune divulgation qui, de ma volonté, puisse lui être dommageable.
Enfin, je prête serment d’obéir aux ordres de mes supérieurs hiérarchiques, pour la défense de la liberté et du respect des Lois de mon comté, de son égalité, de sa paix, fondement de sa devise et force de l'âme artésienne, mue par l'espoir d'ouvrir toujours plus grandes, aux hommes comme aux peuples, toutes les portes de la Justice. »